Basilique patriarcale d'Aquilée.

Le Doge Vitale Falier.

Robert Guiscard.

La première croisade.

Le Doge Marino Grimani confie sa Commission.
recherche | carte
| home
ita | fra | eng | esp
contactez-nous | copyright

Thèmes connexes

no schede

Galerie vidéo

No video

Galerie des Photos

immagine didascalia

Basilique patriarcale d'Aquilée.


immagine didascalia

Le Doge Vitale Falier.


immagine didascalia

Robert Guiscard.


immagine didascalia

La première croisade.


immagine didascalia

Le Doge Marino Grimani confie sa Commission.


no map

Le rôle de la diplomatie

Le XI° siècle a été caractérisé par deux moments de grande tension, qui ont été un banc d’essai formatif et positif pour la diplomatie vénitienne: les prétentions sur la ville de Grado par le patriarche d’Aquilée, soutenu par l’empereur Corrado II en 1027, et les Normands qui visaient à conquérir le rivage à l’est de l’Adriatique, avec comme objectif final la ville de Constantinople.
L’affrontement avec ces derniers a signifié de gros efforts économiques et militaires pour Venise, gouvernée par le Doge Vitale Falier . La guerre s’est terminée par la mort en 1085 du condottiere normand Robert Guiscard .
L’empereur de Constantinople, Alessio I Comneno, a concédé par reconnaissance en 1082 une autre Bulle d’Or aux Vénitiens qui ont vu ainsi se consolider les privilèges économiques déjà étendus qui leur avaient été accordés.
Le 26 novembre 1095, au Concile de Clermont, le pape Urbain II a proclamé la première croisade .
Venise a adhéré à l’entreprise, en assurant le transport des croisés contre un paiement consistant. Les énormes avantages économiques qui en dérivaient l’ont poussée à devoir rivaliser avec les Républiques maritimes de Gênes et de Pise.

400 - 1000 - - rev. 0.1.8

[-A] [+A]

Venise et ses lagunes

Patrimoine de l'Humanité, dialogue entre cultures: quel avenir?

crédits | help